L'agenda

Inspirée par le travail de Jean-Jacques Hauswirth (1809-1871), Irene Karpiczenko (°1952, Johannesbourg, Afrique du Sud) explore l’art du découpage de manière contemporaine et audacieuse.

Cette exposition, orchestrée à l’occasion du 100e anniversaire du Manifeste du surréalisme d’André Breton, réunit des œuvres de grands noms du surréalisme (Dalí, Ernst, de Chirico…) ainsi que des artistes contemporains influencés par le mouvement.

La Verbier 3-D Foundation présente une nouvelle œuvre de l’artiste Rana Begum (Bangladesh, 1977 – vit à Londres), invitée à une résidence axée sur la recherche pour s’immerger dans la communauté alpine locale et explorer le thème environnemental de l’énergie.

Immersion dans la richesse et l’extravagante diversité de l’expression plastique de la spiritualité humaine.

Marta Minujín (Buenos Aires, °1943) est l’une des artistes pop et conceptuelles latino-américaines les plus influentes de tous les temps.

À l’occasion de la résidence de Berni Searle, le Zeitz MOCAA présente une grande rétrospective réunissant des œuvres antérieures ainsi que des croquis, objets et publications, installations…

En 1988, Marina Abramović (Belgrade, °1946) réalise, avec l’artiste allemand Ulay, une de ses performances les plus emblématiques : sa marche historique à travers la Grande Muraille de Chine.

Dans l’univers de Thomas Schütte (Oldenbourg, RFA, °1954), des aquarelles intimes, des sculptures monumentales figuratives, des céramiques vives, des maquettes architecturales et des bâtiments complets se côtoient comme autant d’explorations de l’esthétique, de l’histoire et de la culture.

Couple mythique, Hans/Jean Arp et Sophie Taeuber-Arp sont deux figures centrales de l’art abstrait du XXe siècle.

Cette sélection réunit environ vingt ans de développements plastiques (céramiques, bronzes, vidéos et installations) de Simone Leigh (Chicago, °1967), soit un large éventail de périodes historiques, de géographies et de traditions.

Présentant plus de cinquante œuvres, cette exposition retrace les cinq phases clés d’un monstre sacré : Francis Bacon (1909-1992).

Depuis les années 1960, Olga de Amaral (Bogota, °1932) révolutionne l’art textile en explorant des matières comme le lin, le coton, le crin de cheval et la feuille d’or.

Cette exposition célèbre le pouvoir sans précédent et la créativité féminine illimitée des artistes iconiques qui ont défié les normes avec leur bravoure et leur ambition.

Pionnier de l’art cinétique, Jean Tinguely (1925-1991) a transformé le concept d’œuvre d’art en intégrant des machines dans ses sculptures.

Photographe, Viviane Sassen (°1972) est reconnue pour son travail à la frontière entre la mode et l’art contemporain.

Dans le cadre des Photodays (du 2 au 30 novembre dans de très nombreuses galeries et institutions à Paris et en Île-de-France), la galerie Catherine Putman nous invite à découvrir l’œuvre éminemment poétique de Dana Cojbuc…

Depuis soixante ans, Almut Heise (°1944) développe une œuvre picturale et graphique unique, marquée par une constance et une intransigeance admirables.

L’immense galerie de Thaddaeus Ropac implantée à Pantin, dans le Grand Paris du Nord-Est, offre un beau pendant à la grande exposition Pop Forever de la Fondation Louis Vuitton…

Jusqu’au 30 décembre, “Fashion Art & Demure” s’invite au rez-de-chaussée de la spectaculaire Louise Tower, avenue Louise. Cette exposition immersive brouille les frontières entre mode et art, offrant une réflexion inédite sur l’élégance contemporaine.

Le Mima (Millennium Iconoclast Museum of Art) présente le travail mural d’Alexandre Farto alias Vhils. Un solo show détonant !

“La plupart des œuvres d’Hélion sont à la croisée de l’abstraction et de la figuration, sans que l’on sache toujours laquelle engendre l’autre.

La galerie Tornabuoni nous offre un beau complément à l’exposition de la Bourse du Commerce consacrée à l’Arte Povera avec des œuvres majeures des principaux protagonistes du mouvement : Alighiero Boetti, Luciano Fabro, Jannis Kounellis, Mario Merz, Giulio Paolini ou encore Michelangelo Pistoletto.

La passion de Kim De Rijck pour la bijouterie semble inscrite dans son prénom… Kim signifie “de l’or” en Asie du Sud.

Matisse, Picasso, Klee, Giacometti… Le musée de l’Orangerie accueille les chefs-d’œuvre de la collection Heinz Berggruen.

De la désintégration de la matière à la nucléarisation du monde, en passant par l’image explosive de la bombe, les artistes se sont emparés de l’imaginaire de l’atome depuis le début du XXe siècle. C’est ce que nous propose de découvrir cette exposition réunissant 250 œuvres (peintures, dessins, photographies, vidéos et installations).

Une célébration du Pop Art : de ses origines dadaïstes à son rayonnement contemporain, l’exposition de la Fondation Louis Vuitton, centrée sur Tom Wesselmann, met en lumière un mouvement artistique révolutionnaire.

Il a élevé le chapeau au rang d’œuvre d’art.

Une invitation au voyage qui dévoile le remarquable corpus d’œuvres de Pierre Alechinsky.

Amelia LiCavoli est la commissaire invitée de Black Air, une exposition collective immersive.

L’Orangerie, espace d’art contemporain, se joint au souvenir des commémorations du 80e anniversaire de la Bataille des Ardennes en présentant le travail de Jelle Vermeersch qui a rencontré et photographié, en 2014, des vétérans revenus sur les lieux et des civils survivants.

Alain Séchas s’est fait connaître, à la fin des années 1990, par ses figures de chats longilignes, aux expressions campées en quelques traits et interpellant le spectateur de leurs grands yeux exorbités.

Depuis 1989, Almine Rech a réussi à tisser des liens avec l’artiste conceptuel James Turrell.

À travers son approche unique, le sculpteur Richard Nonas (1936-2021) questionne les frontières entre l’art et l’architecture, entre le naturel et l’artificiel.

Coup de cœur absolu pour cette exposition consacrée à Hilma af Klint (Stockholm, 1862-1944).

Le château de Chantilly et le musée des Arts anciens de Namur célèbrent Louise d’Orléans, première reine des Belges, dans des expositions qui redécouvrent cette figure romantique marquante.

Le poème de Charles Baudelaire, L’Invitation au voyage, constitue le point d’ancrage de cette rétrospective Henri Matisse.

Révolutionnaire et controversé, Lucio Fontana transcende les frontières de la peinture et de la sculpture pour interroger l’essence même de l’espace et de la matière.

La Bourse de Commerce consacre une exposition à l’Arte povera, rassemblant des œuvres de la collection Pinault et de collections prestigieuses pour explorer ce mouvement italien qui sublime la simplicité des matériaux bruts.

Cette exposition revient sur les débuts de la carrière de Jackson Pollock (1912-1956) : de l’influence du régionalisme et des muralistes mexicains à ses premiers drippings.

Évoquer Richard Peduzzi, c’est renouer avec la grande époque de Patrice Chéreau, quand les mises en scène au théâtre avaient du souffle, quelque chose en plus.

L’artiste bâlois Alexander “Xanti” Schawinsky est l’une des figures emblématiques de l’école du Bauhaus, où il étudie auprès d’Oskar Schlemmer, Walter Gropius, Paul Klee et László Moholy-Nagy.

Érosions sourdes, Paysage martyr, Ressac… les dessins Stéphanie Mansy (née en 1978) se répandant en vastes coulées et lignes jaillissantes au-delà de la feuille, sur les murs, donnent à voir de vastes paysages abstraits.

C’est à un autre vibrant face-à-face que nous invite la galerie Karsten Greve : Pierre Soulages (1919-2022), le maître incontesté du monochrome noir et John Chamberlain (1927-2011), le virtuose du métal.

Cette exposition immersive et interactive, mêlant art, science et technologie nous alerte, notamment, sur la pollution de l’espace.

Portraits troublants de vérité (citons le célèbre Portrait d’un vieil homme aux chairs tombantes, lacérées de rides, ou la non moins fameuse Fanciulla de Vulci, jeune fille toute de grâce et de perfection), copies d’originaux grecs renommés (tel le Buste de satyre ivre, véhémente réplique en marbre d’un bronze découvert à Herculanum), œuvres au “style rétrospectif” puisant aux sources du classicisme ou de l’archaïsme grecs, sculptures funéraires…

Remisées dans les réserves depuis plus de quatre-vingt-cinq ans, les collections d’Asie du musée royal de Mariemont retrouvent enfin la lumière à l’occasion d’une exposition thématique unique.

Le Design Museum de Bruxelles célèbre les femmes designers à travers une double exposition, mettant en lumière leur impact historique et contemporain, avec un accent sur les créatrices belges.

Cet automne, Claudie Laks et Julie Loeckx viennent renforcer les rangs d’Art22 Gallery – de Ville & Brouwers.

Raphaël, Antonello de Messine, Botticelli, Parmigianino (Le Parmesan), Titien, Véronèse, Caravage, Cavalier Bernin, Rubens…

Un versant entier de l’art actuel se revendique comme choquant. Même si cet adjectif – subjectif par excellence – est étroitement lié à la sensibilité de chacun, il n’en reste pas moins que certains artistes repoussent sans cesse les limites de la provocation.

Un parcours labyrinthique rayonnant autour du manuscrit original du Manifeste fondateur d’André Breton : telle est la physionomie que prendra au Centre Pompidou l’exposition célébrant, après les musées royaux des Beaux-Arts de Belgique, l’anniversaire du mouvement surréaliste.

À l’occasion du centenaire du surréalisme, cette exposition offre une perspective inédite sur l’œuvre d’Alberto Giacometti (1901-1966), en explorant notamment son amitié et ses liens créatifs avec Max Ernst.

C’est un immense artiste au talent protéiforme que célèbre la Rétrospective Elliott Erwitt à la Grand-Place.

Muse, icône de mode, figure mondaine, célèbre mécène, écrivaine et poétesse, la vicomtesse de Noailles fut aussi un peintre accompli.

Le 9 mars 1959, la femme d’affaires américaine Ruth Handler, alors à la tête de l’entreprise de jouets Mattel, présente la toute première Barbie, devenue soixante-cinq ans plus tard, une icône planétaire.

Sponsorisé par la marque allemande de vêtements Boss, l’événement scénographie la carrière de Naomi Campbell.

Une sélection de 300 photographies issues de la collection privée d’Elton John et de son mari conte l’histoire de cet art magistral.

“Au cours du bicentenaire de la National Gallery, nous voulons réaffirmer notre rôle de galerie nationale”, souligne Gabriele Finaldi, directeur.