Robert Ryman, le temps du regard

“Je coupe, je lacère le papier et je joue avec les dégradés de tons, rythmés par le mouvement de mes incisions dans lesquelles s’infiltre la lumière”, explique l’artiste écossaise qui, usant du scalpel comme d’un pinceau, “questionne la notion même de surface”, qu’elle décrit comme un espace d’interrogation entre le visible et l’invisible.

L’exposition explore la figure de la mère, motif central de l’histoire de l’art, entre présence et absence, héritage et quête personnelle.

En 2020, l’arrière-petit-neveu de Curzio Malaparte avait édité une table, une console et un banc, identiques à ceux réalisés par l’écrivain italien pour sa maison capriote, icône de l’architecture moderne.

Au mois de mars, le dessin est célébré à Paris (et dans toute la France).