Jean-Claude Frison revient au Théâtre de La Valette

Au théâtre Royal du Parc, Arsène Lupin, l’illustre gentleman-cambrioleur veut prendre sa retraite et mener une vie monotone.

Meurtre, inceste, adultère et vengeance hantent les ruines de l’abbaye de Villers-la-Ville. Pour son 37e spectacle estival, c’est Lucrèce Borgia, le fascinant mélodrame de Victor Hugo, que le scénographe et producteur Patrick de Longrée a choisi de représenter dans les ruines de l’abbaye cistercienne. C’est la sixième fois qu’une œuvre de Hugo est portée sur les tréteaux de Villers. Il est vrai que le verbe hugolien résonne en parfaite harmonie avec les majestueux vestiges abbatiaux.

Toute vérité est-elle bonne à dire ? Un voyage en eaux troubles au Théâtre Royal des Galeries où plus le spectateur croit s’approcher de la vérité, plus il s’en éloigne.

Après deux années de créations théâtrales allégées, les producteurs Patrick de Longrée et Rinus Vaneslander renouent avec la tradition des grandes productions estivales dans les ruines de l’abbaye cistercienne.

Ce philanthrope se décrit comme un “un entrepreneur engagé qui travaille tous les jours pour être toujours plus aligné avec ses convictions et ses valeurs”. Dans Pause, son dernier ouvrage basé sur son podcast éponyme, Alexandre Mars a voulu montrer que “peu importe nos blessures, nos failles, nos limites, tout le monde peut réussir à atteindre ses objectifs”.

Greta Gervig, la présidente du jury, a lancé hier la 77e édition du Festival de Cannes. Joie et émotions.

Depuis Bruxelles, le rappeur Zomb. (alias Rémi Zombek) donne de l’allure et du relief à ses pensées noircies.

En ce 100e anniversaire du surréalisme, et parce que la filiation paraît évidente, les collages nostalgiques et fantasmagoriques d’Émelyne Duval sont présentés au Musée belge de la Franc-Maçonnerie.