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La démarche de Bilal Bahir s’intéresse à la diversité des cultures dans une vaste perspective chronologique.

Artiste mal connu, souvent réduit à ses sculptures monumentales de femmes plantureuses, Aristide Maillol (1861-1944) méritait bien cette rétrospective.

Figure majeure de l’art contemporain, Els Dietvorst (Kapellen, 1964) – lauréate Belgian ArtPrize 2021 – développe une pratique socialement engagée, abordant constamment des questions liées à l’actualité (migration, racisme, changements climatiques…).

Jean Rets (1910-1998) a patiemment créé un monde de signes, de formes et de couleurs faisant écho à sa sensibilité.

Après avoir célébré les mystères et les fantasmagories d’un monde sous-marin imaginaire, Ariane de Rosmorduc (Bruxelles, 1967) retrouve la terre ferme.

Après les Amazones du Pop (l’été dernier à Nice), voici les Héroïnes romantiques.

Les photographies de Thomas Boivin à Belle-ville (Paris) montrent la ville à l’état organique, désordonnée.

Cette exposition présente, pour la première fois au public belge, la posture dissidente et exubérante de Caland, tant à l’égard de la vie que de l’art.

Née à Bruxelles en 1991, Babette Goossens obtient en 2014 son diplôme de Master spécialisé en Arts visuels et de l’espace avec grande distinction.

À la fois vaste et très introspectif, ample et resserré, l’œuvre d’Édith Dufaux apparaît comme une exploration poétique et onirique des territoires de l’intime.

Les peintures de Jonathan Wateridge sont des non-événements minutieusement conçus, et pour la plupart entièrement fabriqués, qui ont les signes extérieurs d’un événement réel.

Escortées de branchages, des roses étendues sur des ballots de toile posés au sol contemplent un nuage monumental tracé à la mine de plomb.