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Née en Belgique de parents turcs, Shen Özdemir puise dans ce double héritage, mais également dans les traditions du monde entier, pour composer un univers qui n’appartient qu’à elle, d’une cohérence exceptionnelle : un néo-folklore sans frontière, audacieusement coloré.

Johan Tahon (Menin, °1965) n’est pas un inconnu pour l’IKOB. Il exposa en 2007 en tandem avec Ronny Delrue, et ses œuvres ont, depuis, été régulièrement présentées à l’occasion d’expositions collectives.

Composée par Grégory Lang, cette exposition explore la stimulation des comportements humains à travers différentes variations de la couleur. Les œuvres en présence se distinguent par un caractère à la fois immersif et immatériel.

Peintre et dessinateur, Petrus De Man (Halle, °1955) imagine un monde singulièrement poétique, aux accents bruts et construits, parfois très colorés.

C’est un poncif mais rappelons que l’art est ce qui survit à son auteur, mais aussi à un temps, une époque, une civilisation.

Cette exposition signée Jan Kempenaers réunit une sélection de cent photos de monuments qui commémorent le passé colonial du pays.

La musique est sans doute l’un des arts qui a le plus inspiré les peintres. Le sentiment de promiscuité avec leur art et la volonté de traduire des émotions, des plaisirs de la vie ou encore le caractère éphémère de l’existence poussent les peintres à s’intéresser à la musique.

Les derniers travaux de Marianne Behaeghel repoussent les limites de la photographie. LSD est une série de clichés non manipulés qui célèbre la poésie de la vie quotidienne.

Artiste ultime du mouvement CoBrA, Pierre Alechinsky (°1927) présente, chez Jean Marchetti, une trentaine d’œuvres inédites de différentes périodes et techniques.

Justine Englebert, jeune artiste issue de l’atelier de dessin de l’Académie Royale des Beaux-Arts à Liège, diplômée en 2022, présente une exposition autour de la ligne et de la couleur, éléments centraux de sa démarche actuelle.

Les voyages de Camille. Découvrez 3 destinations vibrantes, culturelles et dépaysantes pour se changer les idées le weekend de l’Armistice. Leurs points communs ? Elles sont proches de Bruxelles, accessibles en train, et regorgent d’un patrimoine culturelle hors du commun.

Non, il ne s’agit pas d’une énième exposition sur Frida Kahlo, mais du regard d’Isabelle de Borchgrave porté sur cette femme passionnée et libre, son univers intime et coloré. La rencontre de ces deux artistes uniques est l’événement bruxellois de cette fin d’année !