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Diane von Furstenberg, la créatrice belgo-américaine au succès mondial, est récemment retournée à Bruxelles. Le Manneken-Pis a été vêtu d’une robe inspirée de sa fameuse wrap dress. Diane a également présenté son livre Woman before fashion et a partagé son parcours créatif lors d’une soirée à la Fondation Bohossian. © Violaine & Constance le Hardÿ de Beaulieu

Théâtre, illusions, poésie, musique, voltige,… “Alice au cabaret!” est un spectacle à voir en famille ou entre amis. Deux heures d’émotion, de frisson, de rêve et d’évasion dans le cadre du Magic Mirror.

Pour cette sixième édition, les photographes du collectif Bruxelles Pixels, une des deux sections de Ars Varia, et leurs trois photographes invités vous invitent à découvrir en décembre une nouvelle fois leur vision décalée et positive de Bruxelles lors de l’exposition Schieven Regards VI.

C’est à l’Autoworld, dans une ambiance chaleureuse aux couleurs de l’Inde, que s’est déroulé le gala annuel  de BIG Against Breast Cancer. BIG, co-fondé par les professeurs  Martine Piccart et Aron Goldhirsch, est aujourd’hui le plus grand réseau international de recherche contre le cancer du sein. © Violaine et Constance le Hardÿ de Beaulieu

Dans le cadre des déjeuners-conférences organisés par L’Éventail, le professeur Bruno Dubois est venu parler d’Alzheimer, cette “maladie du siècle”, liée au vieillissement de la population et un défi majeur pour la médecine moderne… © Violaine Le Hardÿ de Beaulieu

Le nouveau numéro du magazine Lobby est sorti le 7 novembre dernier avec un thème central très intéressant : « Quand Bruxelles inspire un certain art de vivre ». À cette occasion, une soirée forum de haute volée autour de ce thème s’est tenue dans le prestigieux Hôtel de Ville de Bruxelles. Ce dernier a rassembler quelques grandes figures de la vie bruxelloise : Fabienne Delvigne, Honorine d’Ursel, Pierre Degand, Pierre Marcolini ou encore son bourgmestre, Philippe Close. Mais celui à qui nous allons nous intéresser cette semaine est celui qui animait ce forum : Constantin Chariot. Qui de mieux que le célèbre historien de l’Art et galeriste, amoureux de la capitale, pour nous parler de l’art de vivre à la bruxelloise ? Extraits de son intervention.

C’est à La Cambre, qu’avait lieu une grande réception, organisée par la Banque Transatlantique pour découvrir l’exposition “Racines”. L’initiative a pour ambition de mettre l’accent sur La Cambre et tous les artistes qui sont sortis de l’école depuis près de 100 ans puisque dans 3 ans, elle fêtera le 100e anniversaire de l’institution. © Violaine Le Hardÿ de Beaulieu

Bruxelles ne rime pas avec voiture, disons le bien haut et fort ! Parking infernal, essence hors de prix, circulation bouchée, zone 30 : si cette litanie vous hérisse, cet article est fait pour vous. Et si on passait aux voitures collectives ?

Née il y a près de dix ans, l’association bruxelloise Play4Peace s’est fixé l’importante mission d’utiliser le sport pour casser les barrières sociales et culturelles. Cette année, elle lance son academy, un programme pré-incubateur, pour doter les jeunes d’outils de leadership.

Dans le cadre de notre nouvelle série sur l’art de vivre – plus particulièrement à Bruxelles – le magazine Lobby ne voulait pas passer à côté d’un pan entier de nos sociétés grégaires … La gastronomie, l’élégance, le beau mobilier, la verdure, une certaine forme de luxe et de prestige, l’art de vivre peut se décliner sous beaucoup d’aspects. Mais on oublie souvent l’un d’eux, capital à notre éducation : la culture, avec un grand C !

Aujourd’hui sort une nouvelle édition du magazine Lobby. Un numéro consacré à Bruxelles et son art de vivre. Un thème audacieux car, on le sait : embouteillages, pollution (qu’elle soit environnementale, sonore ou visuelle), insécurité, malpropreté, etc, … les problèmes sont nombreux ici. Et pourtant, page après page et lors du Forum de Lobby de ce soir, la revue démontre qu’il est possible de se voir offrir une vraie qualité de vie à Bruxelles !

La pratique artistique de Berg se concentre sur l’impact de l’environnement naturel et ses impressions esthétiques sur soi-même. Il interrompt le rythme frénétique de la vie quotidienne afin de percevoir l’unicité et la poésie de ces impressions. Capturer les gestes de la nature le mène à des moments de pleine conscience et de méditation, un concept qui est sa réponse pratique à la vie hyper-numérique que nous menons.