Et que dire de celle où il est avec son amie Leïla Menchari, en 1967 ? L’idée de la fondation Alaïa de célébrer le couturier avant sa formi-dable réussite est excellente. Elle révèle les années de jeunesse en Tunisie, son arrivée à Paris, les premières clientes de la rue de Bellechasse, mais aussi sa pudeur, sa sensi-bilité, sa détermination. Une exposition très attachante.
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