Rédaction
27 April 2018
De 1954 à 1971, l'orfèvre confectionna pour celle-ci non seulement des bijoux baroques, étrusques, byzantins, mais aussi des miroirs, des lustres, des tables basses au piètement en forme d'épi de blé. Une débauche de cristal de roche, de corail, de pyrite, de laiton et de bronze doré que goûta ensuite Yves Saint Laurent. Pour lui rendre hommage, Philippe Rapin signe aujourd'hui un livre qui réunit une partie de cette production lyrique et débridée.
Maison Rapin
25 quai Voltaire, Paris 7e
www.maison-rapin.com
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