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Intitulée Volle Petrol (“à plein gaz”), la toute première exposition personnelle de Charlotte Abramow (Bruxelles, 1993) en Belgique réunit des clichés qui soulignent l’influence du surréalisme.

Au confluent de la Meuse et de la Sambre se love Namur. Longtemps sous-estimée sur la carte géoculturelle belge, la ville affiche à présent un dynamisme insoupçonné. Au musée Rops – qui jouit de la plus évidente notoriété – sont venues s’ajouter de nouvelles structures renforçant l’attractivité d’un secteur qui a longtemps souffert de sa position régionale, décentralisée. Un constat qui appartient au passé.

Une mer de nuages blanche et grise envahissant la toile où l’on distingue un planeur et son ombre : le tableau peint en 1910 par André Devambez en dit long sur la veine de cet artiste de la Belle Époque que le Petit Palais a la bonne idée de sortir de l’oubli.

“Je pratique un art politique, c’est-à-dire ambigu, contradictoire, inachevé, orienté vers des fins précises : un art d’un optimisme mesuré, qui refuse le nihilisme.”

Aux racines putrescentes d’un Motif végétal peint en 1972 par Zoran Music répondent les vaisseaux bourgeonnants traversant les paysages organiques dessinés par Fred Deux.

Stéphanie Roland crée des films et des installations qui croisent recherche documentaire et fiction. Ses productions explorent le caractère fantomatique de lieux ou de personnages, et sondent les récits réels ou imaginaires qu’ils génèrent.

Cette exposition de Serena Fineschi (Sienne, 1973) et Loredana Longo (Catane, 1967) a pris forme grâce à une collaboration étroite entre les deux artistes, avec pour but d’ouvrir un dialogue entre leurs pratiques artistiques.

Deux univers qui se conjuguent à merveille… Sculptrice, Sabrina Gruss travaille avec du “vivant mort”. Sa matière première ? Cadavres d’animaux, squelettes fragiles, écorces vieillies, renards momifiés…

Kinshasa (N)tóngá esquisse une image singulière de la capitale congolaise, de son développement et de sa structure urbaine. L’héritage du colonialisme et son impact sur l’architecture de la troisième plus grande ville du continent africain sont des thèmes abordés par les œuvres des artistes présentés.

“Béatrice Saint-Laurent incarne la relève de mon métier. Elle a ouvert sa galerie en 2010 et, depuis, elle a acquis une vraie notoriété. Elle travaille avec de nombreux décorateurs américains.

Duo de photographes françaises, Elsa & Johanna présentent au Studio de la Maison européenne de la Photographie une série néo-vintage réalisée dans le nord de l’Allemagne.

“Marie-Bérangère Gosserez est l’autre galeriste que j’estime le plus à Paris. Nous avons la même passion pour l’artisanat d’art, la même rigueur dans l’exécution.