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L’exposition “I wish you were here” propose par ses cinq artistes nationaux et internationaux de considérer autrement le médium de la carte postale. Plus qu’un simple carton 10x15cm, c’est une trace que l’on laisse d’un paysage, d’un folklore, d’une personne. On écrit au verso pour transmettre quelques mots à un être cher, un ami, un confident. La carte reste dans les archives familiales, prend place dans un album et puis devient en quelque sorte muette. On ne connait plus son expéditeur, son destinataire, il ne reste plus que l’image, le recto.

Dès lundi, Kim Oosterlinck sera officiellement le nouveau directeur général des Musées royaux des Beaux-Arts de Belgique. Il succède à Sara Lammens, qui assurait la direction générale ad interim des Musées royaux des Beaux-Arts de Belgique, depuis mai 2023.

Sols salins nappés de concrétions ou semés de crevasses et plantes aquatiques, le tout photographié en gros plan avant d’être révélé dans des bains de sel provenant de la mer Morte…

En attirant l’attention sur le fait que le corps physique relève d’une construction sociale, elle-même fruit des représentations, usages, habitudes et fantasmes qui lui sont associés, Sin Wai Kin (Toronto, 1991) cherche à dépasser les approches sexuées et normatives de l’identité.

Talent parmi les plus prometteurs, Yann Freichels (°1996) porte un regard de peintre sur le présent, tout en se servant des manières de peindre de ses prédécesseurs.

Herman Asselberghs (Malines, 1962) a méticuleusement construit une œuvre audiovisuelle internationalement diffusée dont le travail se concentre sur le questionnement des relations entre le son et l’image, le monde et les médias, la poétique et la politique.

L’exposition retrace le parcours atypique de la cinéaste, écrivaine et artiste belge Chantal Akerman (1950-2015), de Bruxelles, sa ville natale, jusqu’aux déserts et aux horizons lointains de ses tout premiers films à ses dernières installations en 2015.

Artiste inclassable, connu pour ses œuvres controversées, le plasticien belge Wim Delvoye est l’une des figures de la scène artistique contemporaine. Le Musée d’art et d’histoire de la Ville de Genève lui a donné carte blanche pour partager son univers singulier.

Á l’occasion de sa réouverture, le musée Hof van Busleyden de Malines propose une exposition sur l’Ordre de la Toison d’or, une occasion d’évoquer cette distinction prestigieuse qui a traversé les siècles et dont le grand maître actuel, le roi Felipe VI, perpétue la tradition. C’est d’ailleurs avec émotion qu’il a accordé en 2018 la distinction à sa fille aînée la princesse des Asturies, alors qu’il fêtait ses cinquante ans. Toutefois, elle a dû attendre 2023 pour officialiser les choses à l’occasion de ses 18 ans, recevant aussi le grand collier de l’Ordre de Charles III. Mais quelle est donc l’origine du plus illustre des ordres de chevalerie ?

Diana Barrault, une artiste nantaise, développe très tôt une sensibilité pour la peinture, un goût pour la mesure, l’équilibre dans la construction. Issue d’une lignée familiale d’architectes et de peintres, elle puise son inspiration dans les nuances de la vie, capturant les atmosphères subtiles et les émotions fugaces.

Lieu emblématique de la scène artistique bruxelloise, LaVallée (espace de co-working réunissant 180 créatifs) met en lumière le travail de quatre artistes résidents : Ammo, Elzo Durt, Hell’O et Studio Biskt.

Neuf femmes.