Près de Montpellier, un couple passionné a relevé un défi audacieux : créer un jardin magnifique sans gaspiller d’eau. Résultat ? Un patchwork végétal mêlant euphorbes, cistes et sauges trilobées qui bravent sécheresse et intempéries. Leur secret ? Une fine couche de gravier qui draine l’eau tout en préservant l’humidité. Pas de pelouse à tondre, pas de dépenses inutiles, juste un jardin autonome et sublime.
© Claire Takacs
À Bendigo, dans l’Etat de Victoria en Australie, un parc de 3,5 hectares a été conçu pour être aussi agréable au sol qu’éblouissant vu du ciel. Ici, pas de fleurs capricieuses, mais une savante association de cactus, arbustes rustiques et plantes indigènes qui prospèrent sans la moindre irrigation. Loin du jardin à l’anglaise, cette explosion de vie prouve que la nature sait s’adapter – il suffit juste de la laisser faire.
© Claire Takacs
Singapour ne plaisante pas avec la verdure ! À Gardens by the bay , d’immenses arbres artificiels de 50 mètres de haut, tout droit sortis du futur, captent l’énergie solaire pour illuminer la ville. Aujourd’hui, plus de 50% du territoire est recouvert d’espaces verts, prouvant qu’une métropole peut être à la fois ultra-moderne et ultra-verte !
© Claire Takacs
Le complexe Stavros Niarchos à Athènes n’a pas fait les choses à moitié : une toiture végétalisée de 2,3 hectares, des plantes méditerranéennes adaptées au climat, un canal rafraîchissant et même un potager. Quand l’architecture rencontre l’écologie, ça donne un projet aussi ambitieux que rafraîchissant.
© Claire Takacs
Ces exemples de jardins sont la preuve qu’il est temps de repenser notre approche du végétal. Pourquoi ne pas privilégier des plantes adaptées, réduire l’arrosage et laisser la nature souffler un peu ? Après tout, elle sait très bien se débrouiller toute seule.
Article inspiré par la newsletter de Lobby du 7 mars 2025 écrite par Françoise Wallyn et François Didisheim, fondateur de Lobby. Retrouvez la revue des cercles du pouvoir, ici
Photo de couverture : © Claire Takacs
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