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Loin du cubisme et de l’art abstrait en germe alors qu’elle décide de s’adonner à la peinture, Suzanne Valadon cultiva un “réalisme brutal”, campant des corps, sans artifice ni voyeurisme, dans des constructions solides marquées par “l’éclat lourd des coloris”.

Les grands designers du XXe siècle se sont investis dans la création d’objets dédiés aux enfants.

Jouant sur le dialogue entre les plâtres de l’Atelier Brancusi (joyau de la collection du musée national d’Art moderne en partie reconstitué) et les originaux en pierre ou en bronze prêtés par de nombreuses collections privées et muséales, la rétrospective du Centre Pompidou offre, après celle qui lui a été consacrée dans sa Roumanie natale, un regard renouvelé sur l’inventeur de la sculpture moderne.

Chaînon capital entre Rodin et César, figure majeure de la sculpture moderne, Germaine Richier (1904-1959) se voit enfin consacrer une rétrospective.

S’appuyant sur l’anticolonialisme des Surréalistes, et notamment la contre-exposition qu’ils organisèrent en 1931, l’année de l’Exposition coloniale de Vincennes, aux portes de Paris, l’expo du Centre Pompidou n’en révèle pas moins les contradictions intrinsèques au mouvement.

Rassemblant près de 900 œuvres et documents déployés dans un parcours pluridisciplinaire en huit sections, associant la peinture et la photographie, mais aussi l’architecture, le design, le cinéma, le théâtre, la littérature et la musique, le Centre Pompidou consacre une exposition fleuve à la Neue Sachlichkeit (Nouvelle Objectivité), courant artistique développé sous la République de Weimar (1918-1933), à la veille du nazisme.

Rassemblant près de 900 œuvres et documents déployés dans un parcours pluridisciplinaire en huit sections, associant la peinture et la photographie, mais aussi l’architecture, le design, le cinéma, le théâtre, la littérature et la musique, le Centre Pompidou consacre une exposition fleuve à la Neue Sachlichkeit (Nouvelle Objectivité), courant artistique développé sous la République de Weimar (1918-1933), à la veille du nazisme.

Tout le monde a en tête la sculpture de ce jeune garçon tenant une grenouille à la pointe de la Douane de mer, à Venise. Mais on ignore que cette commande de François Pinault à Charles Ray n’était que la partie visible de l’iceberg…