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Felipe et Letizia au Japon

News Gotha

Rédaction

10 April 2017

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Á quelques mois de la célébration des 150 années de relations diplomatiques entre les deux nations, le roi Felipe VI d'Espagne et la reine Letizia ont effectué une visite officielle de quatre jours au Japon.

Les souverains reçurent les honneurs sur l'esplanade du palais impérial en présence de l'empereur Akihito, de l'impératrice Michiko et de toute leur famille. Letizia dans un manteau rouge éclatant de Felipe Varela, son couturier favori, a attiré tous les regards.

 
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Le soir, un dîner de gala permit aux deux monarques de prononcer un discours réaffirmant les liens de bonne entente et d'amitié existant. Entretemps, le couple royal fut salué par le robot Asimo au Musée national des Sciences émergentes. Les jours suivants, Felipe et Letizia ont rencontré la communauté espagnole installée au pays du soleil levant et eut un entretien avec le premier ministre au palais Akasaka, l'occasion pour Letizia de rendre un hommage à ses hôtes en portant une robe fourreau noire rehaussée d'impressions japonisantes. Avec leurs homologues, ils se rendirent aussi à Shizuoka, en shinkansen, pour visiter le centre d'études sismiques mais aussi pour un étonnant clin d'oeil historique puisque le grand prêtre du mausolée de Toshogu leur montra une horloge qui avait été offerte par le roi Philippe II au Shogun Tokugawa Ieyasu après qu'il ait fait secourir des marins espagnols naufragés et leur ai fait reconstruire un bateau pour qu'ils puissent rentrer au bercail.

 
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Lors de ce court séjour, les souverains qui avaient laissé leurs filles à Madrid eurent des activités aussi séparées puisque pendant que Felipe rencontrait des chefs d'entreprise nippons avec sa délégation, Letizia a visité le centre d'immunologie oncologique dans le cadre de son rôle de Présidente de la Fondation de lutte contre le cancer. Un premier grand voyage d'état réussi pour les souverains espagnols, ambassadeurs de choix de la nation espagnole.

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France, Paris

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De provenance impériale et royale

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Sotheby’s avait déjà proposé une partie de la collection à l’automne passé, voici que la vente de novembre à Genève poursuit la dispersion de cet ensemble exceptionnel issu de la branche cadette de la famille de Wurtemberg. Á cela s’ajoutent des bijoux des maisons de Bade et de Bavière mais aussi un somptueux collier provenant de l’écrin des marquis d’Anglesey. Ce négligé totalisant plus de 300 carats fut porté aux couronnements de Georges VI et d’Élisabeth II et son histoire a de quoi intriguer puisque les glands terminaux proviendraient du fameux collier de la reine, celui que refusa Marie-Antoinette et qui fit pourtant un tel scandale. Á n’en point douter le bijou date du XVIIIe siècle et si certains témoignages corroborent l’association à l’infortunée souveraine, il faut rester prudent. Quoiqu’il en soit, il illustre à merveille l’opulence de la cour du roi Georges III et fait preuve dans son porté d’une modernité étonnante. Flexible à souhait, il pourrait allègrement dépasser les deux millions de francs suisses et sortir d’une famille à qui il appartient depuis au moins 250 ans !

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