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Alors que la célébration du cinquantenaire de la mort de Picasso bat son plein aux quatre coins de l’Europe, le Musée de l’Orangerie a choisi de braquer son projecteur sur une décennie décisive dans l’œuvre de l’autre “monstre sacré” de la modernité : Matisse.

Plus qu’un médium plastique, la photographie fut pour les trublions de l’arte povera – qui firent table rase de tous les canons de l’art ancien au cours des années 1970 – un “outil de libération de la vision“.

Sculpté dans le sable, le paysage de ruines que Théo Mercier a déployé sous les voûtes de La Conciergerie met au jour les misères et fragilités de notre temps.

Shocking ! Les mondes surréalistes d’Elsa Schiaparelli, le titre-choc de l’exposition du Musée des Arts décoratifs de Paris (MAD pour les initiés) – qui, depuis le mois de juillet, rencontre un grand succès – n’est pas gratuit : la grande couturière, consciente de ses charmes et de ses pouvoirs, avait elle-même, en 1954, titré son autobiographie Shocking Life…

Des vues d’atelier, des escaliers et des feuillages : voici tout l’œuvre peint et dessiné de Sam Szafran (1934-2019). Trois motifs obsédants repris inlassablement

À la mine de plomb, parfois rehaussée d’aquarelle, trait après trait, patiemment… Il y a quelque chose de profondément mystique dans l’œuvre de François Réau.

Issu de l’alliance entre deux prestigieux salons, Fine Arts Paris & La Biennale devrait combler bien des attentes pour la place de Paris en pleine effervescence. Avant d’occuper, comme il se doit, le Grand Palais à l’issue de sa rénovation en 2024, c’est au Carrousel du Louvre que les quelque quatre-vingts exposants de renom participant à cette première édition déploieront leurs trésors couvrant toutes les spécialités, de l’Antiquité à nos jours.

Vaste et prolifique comme les tables d’abondance et autres mises en scène de la vacuité des nourritures terrestres dans les tableaux de Vanités, audacieuse et brillante dans ses confrontations, cette exposition, qui met à l’honneur la nature morte sous toutes ses formes – de la peinture à la vidéo, en passant par la sculpture, la photographie et le cinéma –, ambitionne de faire dialoguer “les choses” par-delà le temps et les frontières.

Dessiné avec force détails et minutie, le Jupiter assis sur des nuages de Bartolomeo Passarotti,  comme l’Éole assis, tout en muscles et cheveux, de Pellegrino Tibaldi, donne à voir une divinité très incarnée.

Son nom ne passe pas inaperçu, mais il y a longtemps que Marie Hugo a accepté de composer avec l’illustre ancêtre. Elle a même séjourné dans la maison de Guernesey et lui a consacré un livre.

On croyait tout connaître de l’icône Pop, ses sérigraphies, ses films underground et ses  fameux Polaroids. Mais on ignorait que son goût pour la photographie n’était pas seulement dicté par son désir de tirer le portrait des célébrités de son époque.

“Je sais que c’est une librairie qu’on n’a plus besoin de présenter, mais elle a pour moi une dimension sentimentale.