Agnès Zamboni
28 March 2024
Habituée à chiner, elle utilise notamment les stocks dormants de collections de peaux destinées aux grandes marques pour gainer ses objets et meubles design. Cette approche, destinée à l’industrie du luxe, contribue à réduire d’environ 50 % la consommation de cuir et va de pair avec une volonté d’aller vers une personnalisation encore plus grande de l’objet, travaillé en petites séries différenciées et pièces uniques. Quant à sa technique, issue d’un procédé des années 1930-1940, elle joue sur un mimétisme formel. Ainsi, cette coiffeuse murale recouverte d’un cuir rose poudré.
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