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“N’est-ce pas le magma interne du corps qui est placé là, au bout de notre regard, comme un champ profond ?”, écrivit l’écrivain et critique d’art Roland Barthes à propos du Reliquaire réalisé en 1957 par Bernard Réquichot.

Décédé en septembre dernier, Jean-Paul Chazal était un avocat parisien qui, lorsqu’il ne plaidait pas, cultivait une passion pour l’art africain, et plus particulièrement sub-saharien.

Après avoir été remisées pour laisser la place au “grand déballage” de Sophie Calle, ayant eu l’insigne privilège d’investir trois mois durant les trois étages de l’hôtel Salé, les œuvres du musée Picasso sont à nouveau exposées.

Sorti du riche fonds des Beaux-Arts de Paris, un Vieillard à grande barbe gravé à l’eau-forte par Rembrandt fascine par la vérité qui ressort de l’extraordinaire désordre des traits.

Célébrant le 75e anniversaire du décès de James Ensor (1860-1949), la Bibliothèque royale de Belgique (KBR) et les Musées royaux des Beaux-Arts de Belgique (MRBAB) s’unissent pour présenter cette exposition.

Albert Oehlen, né en 1954 à Krefeld, en Allemagne, est une figure clé de l’art contemporain depuis les années 1980.

Artiste américain né en 1938 à San Francisco, il est l’un des sculpteurs les plus importants de la seconde moitié du XXe siècle.

“Portraits d’enfants attendrissants, figures d’une antiquité rêvée et de contes de fées”, d’un néo-classicisme mâtiné de romantisme et de symbolisme, les dessins et les sculptures en verre, cire, terre cuite, bronze et marbre d’Henry Cros (1840-1907) sont des curiosités.

Période charnière de l’histoire de l’art, le règne de Charles VII, 5e roi de France de la branche des Valois, connaît un extraordinaire renouveau artistique alors que la guerre de Cent Ans perdure, que le nord du royaume est occupé par les Anglais et que, jusqu’en 1435, sévit la guerre civile entre les Armagnacs et les Bourguignons…

Cindy Sherman est une artiste singulière : elle est le seul sujet de ses œuvres photographiques. Le musée Photo Élysée de Lausanne propose une exposition où l’artiste se met en scène dans des portraits décalés qui questionnent le concept d’identité.

Jouant sur le dialogue entre les plâtres de l’Atelier Brancusi (joyau de la collection du musée national d’Art moderne en partie reconstitué) et les originaux en pierre ou en bronze prêtés par de nombreuses collections privées et muséales, la rétrospective du Centre Pompidou offre, après celle qui lui a été consacrée dans sa Roumanie natale, un regard renouvelé sur l’inventeur de la sculpture moderne.

Vingt ans après avoir présenté une rétrospective de l’œuvre d’Albert Anker (1831-1910), la Fondation Pierre Gianadda propose de redécouvrir l’œuvre du peintre suisse à travers le prisme de l’enfance.