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Léon Devos (1897-1974) place son activité créatrice sous le signe d’une forme particulière de bonheur qui consiste à ressentir des impulsions intuitives et à les traduire plastiquement, sans rejet des matériaux traditionnels et sans remise en question du monde à chaque tableau.

Le dialogue entre les œuvres de Tatiana Bohm (France, 1979) et de Manon Bara (Angers, 1985) aborde une certaine fureur à dire la fragilité du vivant, l’animalité intérieure, le derme de la réalité.

C’est dans le microcosme luxuriant de son jardin que se nichent toutes les sources d’inspiration d’Arne Quinze (°1971).

Quatre expositions accompagnent la sortie du livre éclairant le travail de Nadine Fiévet (Bruxelles, 1947).

De l’invention de l’impressionnisme célébré à Paris aux paysages impressionnistes réunis à Tourcoing, en passant par Giverny ou Clermont-Ferrand, sans oublier Rouen ou Varengeville-sur-Mer et le festival Normandie Impressionniste, les 150 ans du courant qui révolutionna la peinture sont célébrés aux quatre coins de la France.

La foire d’art tribal, asiatique et oriental Civilisations revient au Sablon du 5 au 9 juin. Ce sera l’occasion de découvrir de nouveaux exposants, de nouveaux objets et de nouvelles œuvres, mais toujours dans la décontraction propre à ce rendez-vous. Nous avons rencontré son président Arie Vos, également propriétaire de la galerie Kitsune Japanese Art.

Nécropoles, catacombes, gouffres béants, cavernes obscures, cratères et bouches infernales… C’est aux mondes souterrains que le musée du Louvre-Lens consacre sa nouvelle exposition à travers un parcours de plus de 200 œuvres mêlant tous les genres et toutes les époques.

Ludovico Carrache, Jacques Blanchard, Charles Le Brun, Laurent de La Hyre… Voici les grands noms, auxquels la peinture religieuse du XVIIe siècle français doit son prestige, réunis dans une exposition dédiée aux grands décors de la cathédrale de Paris restaurés après l’incendie qui faillit leur être fatal.

La première exposition de Romana Londi (Rome, 1985) dans la galerie bruxelloise réunit un ensemble de peintures récentes.

Réflexion approfondie sur le rôle du musée aujourd’hui, ce parcours comprend trois volets qui affirment la nécessité de penser l’institution comme un lieu vivant, consacré à la pluralité des voix et des points de vue.

Cette exposition collective aborde la paternité ou la maternité fictive d’une œuvre d’art.

Dans ses performances, Stéphane Roy déconstruit autant qu’il met en évidence le formatage de l’individu par les règles et outils issus du néolibéralisme.