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"1917" de Sam Mendès : Grand Prix de l'Union de la Critique de Cinéma

Corinne Le Brun

13 January 2021

© DR

Le cinéaste britannique Sam Mendes (Skyfall, Spectre, American Beauty) signe un drame épique sur la Première Guerre Mondiale, 1917.

Pris dans la tourmente de la guerre, deux jeunes soldats britanniques, se voient assigner une mission impossible. Porteurs d'un message qui pourrait empêcher une attaque dévastatrice et la mort de centaines de soldats, ils se lancent dans une véritable course contre la montre, derrière les lignes ennemies. "1917" de Sam Mendes (WW Entertainment) est de loin le film le plus prenant et le plus réaliste à ce jour sur l'enfer de la guerre des tranchées. Il a déjà été couronné de trois Oscars et deux Golden Globes.

Les autres finalistes pour le Grand Prix de l'UCC 2021 sont La Llorona de Jayro Bustamante , A Hidden Life de Terrence Malick , Jojo Rabbit de Taika Waititi et Little Women de Greta Gerwig.

L'Union a également attribué son Prix André Cavens (prix du meilleur film belge de 2020) à Adoration (Imagine Film Distribution) du réalisateur belge Fabrice du Welz (Calvaire, Alléluia, Vinyan). Adoration, conte sensuel, raconte l'amour fou de deux jeunes adolescents en fuite du monde des adultes. A la recherche d'un sens dans leur vie, ils se réfugient dans les bois sauvages des Ardennes.

www.facebook.com/Union-de-la-Critique-de-Cinema

Thien Uyen Do : « Fermenter, c’est résister à la standardisation du goût »

Gastronomie & Oenologie

Entre philosophie agricole et engagement culturel, Thien Uyen Do, vigneronne et auteure de Fermentation Rébellion (Les Éditions des Équateurs), explore la puissance universelle et écologique de la fermentation. Un acte ancestral qui s’impose aujourd’hui comme une forme de résistance face à l’industrialisation alimentaire.

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"Les fantômes", la vengeance dans la peau

Cinéma

Avec “Les fantômes”, Jonathan Millet nous immerge dans l’intériorité d’Hamid, jeune chasseur de criminels de guerre syriens. Un film d’espionnage franco-german-belge inédit, très documenté et même inspiré de faits réels. Le réalisateur signe ici un polar d’espionnage d’une brûlante actualité géopolitique. Inédit, fascinant et intense il ne ressemble à rien d’autre. Il est aussi un très beau film sur le traumatisme, la soif de justice et la rédemption. “Les fantômes” fut présenté en ouverture de la Semaine de la Critique, au dernier Festival de Cannes. Rencontre avec Jonathan Millet, sur la Croisette.

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