Honorine d'Ursel (Dorotheum) : « Mieux vaut acheter ce que l’on aime, au moins on est sûr d’en profiter »
Notre série sur les investissements alternatifs et classiques, et les risques qu’ils engendrent, se poursuit cette semaine… dans l’univers de l’art. Certains collectionneur y voient un moment coup de cœur tout en se cultivant, d’autres l’envisagent comme un moyen de… s’enrichir. Et ici, non moins qu’ailleurs, les risques sont nombreux et… souvent cachés ! C’est ce qui est ressorti de notre entretien avec Honorine d’Ursel, la directrice du bureau belge de la très noble maison de vente aux enchères Dorotheum.