Art & Culture

À l’occasion du soixantième anniversaire des Rolling Stones, Eventail.be profite de l’été pour revenir sur les moments marquants d’une carrière jalonnée de succès, de mythes et d’instants fondateurs. Il y a eu la rencontre avec Martin Scorsese, le drame d’Altamont, la mort de Brian Jones, mais il y aussi eu la fin des années 1970 : une époque où les Britanniques se réinventent de peur d’être largués par les dernières tendances.

À l’occasion du soixantième anniversaire des Rolling Stones, L’Eventail profite de l’été pour revenir sur les moments marquants d’une carrière jalonnée de succès, de mythes et d’instants fondateurs. À commencer par cette fameuse langue tirée : un logo longtemps attendu, pensé à des fins marketings et aujourd’hui parfaitement inscrit au sein de l’imaginaire collectif.

À l’occasion du soixantième anniversaire des Rolling Stones, L’Eventail profite de l’été pour revenir sur les moments marquants d’une carrière jalonnée de succès, de mythes et d’instants fondateurs. On tient pour preuve Beggars Banquet : septième album d’un groupe qui, en 1968, se réinvente complètement, ose les hymnes politiques et compose des morceaux qui, malgré leur complexité et leur avant-gardisme, sont aujourd’hui connus de tous.

À l’occasion du soixantième anniversaire des Rolling Stones, Eventail.be profite de l’été pour revenir sur les moments marquants d’une carrière jalonnée de succès, de mythes et d’instants fondateurs. À l’exemple de cette rencontre entre Mick Jagger et Keith Richards, datée du 17 octobre 1961.

Plutôt que de parler de la nouvelle scène locale, Eventail.be a décidé de donner carrément la parole à ceux qui continuent de secouer le paysage musical belge. Avec leur premier album (“Topical Dancer”), enregistré à Gand dans les studios de Soulwax, Charlotte Adigéry et Bolis Pupul confirment qu’il est possible de danser autrement. Avec humour et conscience du monde autour.

Après plus de deux ans de lutte contre un cancer du pancréas, Arno a fini par dire adieu à ce vieux monde qu’il chantait comme personne. À 72 ans, il laisse derrière lui une riche discographie, chouchoutée par des milliers de fans chez qui, nul doute, émergent les mêmes réactions : « Putain putain ».

Plutôt que de parler de la nouvelle scène locale, Eventail.be a décidé de donner carrément la parole à ceux qui continuent de secouer le paysage musical belge. En quelques morceaux à peine, Movulango, signé sur le label de Soulwax, a ainsi imposé un son à la fois électronique et pop, psychédélique et entêtant. En attendant la suite, prévue cette année.

Le festival s’ouvre ce jeudi sous les meilleurs auspices, entre révélations et artistes iconiques.

Deux Belges lèvent le voile sur le mystère de la structure des Stradivarius. Cette recherche paraît dans The Strad Magazine de février 2022. Eh oui, il n’y a pas que les vernis ! André Theunis est luthier à Bruxelles, formé à l’école de Mittenwald, et passé par la prestigieuse maison “W.E. Hill & Sons” en Angleterre. Alexandre Wajnberg est musicien et journaliste scientifique issu de l’ULB (émissions RTBF, Radio Campus). Ensemble, ils publient une recherche originale permettant de comprendre la structure des Stradivarius et des violons de la famille crémonaise, les Amati, les Guarnerius.

Plutôt que de parler de la nouvelle scène locale, Eventail.be a décidé de donner carrément la parole à ceux qui continuent de secouer le paysage musical belge. Avec leur quatrième album ("Celluloid Swamp"), enregistré à New York, les Bruxellois de BRNS confirment tout le bien que l'on pensait de leur rock, plus décomplexé que jamais. Rencontre avec Diego Leyder, chanteur et guitariste de la bande.

Sorti avec une semaine d'avance, ce deuxième album confirme la faculté de la Bruxelloise à composer des tubes voués à devenir de fidèles amis, auprès de qui on aime revenir, encore et encore.

Plutôt que de parler de la nouvelle scène locale, Eventail.be a décidé de donner carrément la parole à ceux qui risquent de secouer le paysage musical belge ces prochaines années. Auréolée d'une victoire à The Voice en 2019, Charlotte Foret (aka Charles) fait fatalement partie de ces artistes qui devraient compter. Parce que certains la comparent déjà à Billie Eilish, et parce que ses pop-songs, sophistiquées et intelligemment arrangées, semblent capables de séduire dès la première écoute.