Bonnes adresses

“Je traverse la Seine et le Marais pour aller spécialement dans cette pâtisserie rue de Bretagne, car ses gâteaux sont extraordinaires !

“À la place d’un bistrot de la rue de l’université s’est installé le chef Yasuo Nanaumi, qui a travaillé auparavant au Moulin de Mougins et chez Lucas Carton.

Depuis l’année dernière, la maison de champagne G.H. Mumm (à qui l’on doit la célèbre cuvée Cordon Rouge) reçoit, dans son restaurant La Table des Chefs, la fine fleur de la gastronomie internationale. Ce printemps, c’est le jeune prodige Tom Meyer qui s’installe à Reims.

Au coeur de l’hôtel Fouquet’s Paris, Le Marta dévoile son nouveau visage et réinvente les codes du bar de nuit en offrant aux parisiens un boudoir festif et intimiste.

“Fondée en 1923, point de chute de nombreux artistes dans ces années-là, cette brasserie de Montparnasse est une institution et j’y ai de bons souvenirs.

“Si je dois dîner avec une copine étrangère, je l’emmène chez René, au bout du boulevard Saint-Germain.

En deux étés, c’est devenu une institution. L’enseigne est très à la mode à Paris et à Val d’Isère, mais c’est sur la plage de Ramatuelle que le premier Gigi a fait son apparition et son concept a tout de suite rencontré le succès.

Situé à côté de chez moi, ce restaurant est devenu ma cantine. On pourrait croire qu’il ressemble à beaucoup d’autres bistrots à Paris, mais il ne se réduit pas à son cadre un peu rétro.

“Situé à 30 mètres de la galerie, ce bistrot parisien est une institution et j’y déjeune très régulièrement. Cédric, le propriétaire, a un véritable fan-club. Il faut dire qu’il a le don de mettre les clients de bonne humeur.

“Une autre adresse pour déjeuner, dans une ambiance totalement différente. Ici, c’est nappes à carreaux, banquette en skaï, plats à l’ardoise, le classique bistrot parisien et j’adore ça ! D’ailleurs, il n’y a pas que moi : les clients américains du Ritz y viennent en voisins !

“J’y déjeune régulièrement, le personnel me connaît et me bichonne. Ce que j’aime ici, c’est qu’il n’y a pas de mauvaise surprise. La carte a un peu évolué depuis la mort de Joël Robuchon, mais ses plats signatures sont toujours là.

En 1660, à Saint-Jean-de-Luz, lors du mariage de Louis XIV, la mère de Louis XIV et l’Infante d’Espagne Marie-Thérèse succombèrent à la finesse des macarons de Monsieur Adam et initièrent ainsi le renom d’une maison qui allait perdurer plus de trois siècles.